Internet Traffic

The Cisco Visual Networking Index (VNI) is the company’s ongoing effort to forecast and analyze the growth and use of IP networks worldwide.

Networks are an essential part of business, education, government, and home communications. Many residential, business, and mobile IP networking trends are being driven largely by a combination of video, social networking and advanced collaboration applications, termed “visual networking.”

Internet Topology

The delivery of IP traffic through the Internet depends on the complex interactions between thousands of autonomous systems (AS) that exchange routing information using the Border Gateway Protocol (BGP) and present a common, clearly defined routing policy to the Internet.

Autonomous System Number‘s (ASN) are assigned in blocks by the Internet Assigned Numbers Authority (IANA) to Regional Internet Registries (RIR) which allocate them to each AS. An AS typically falls under the administrative control of a single institution, such as a university, company, or Internet Service Provider (ISP), but multiple organizations can also run BGP using the same AS numbers.

Autonomous systems are segmented in three groups :

The evolution of the AS numbers is shown hereafter :

Evolution of Internet autonomous system numbers (ASN)

A lookup public registry, called Routing Assets Database (RADb), or Routing Arbiter Database, designed to make fundamental information about networks available, is run  by Merit Network Inc. It was developed in the early 1990s as part of the NSF-funded Routing Arbiter Project. Merit offers also a freely available, stand-alone Internet Routing Registry database server (IRRd) supporting the RPSL and RPSLng (Routing Policy Specification Language) standards.

Internet meshed autonomous systems

The topology of early networks was a simple star or tree structure. In the early Internet there was one Commercial Internet eXchange (CIX), two Federal Internet Exchanges (FIX) and four Network Access Points (NAP). Today the topology of the Internet is a huge mesh structure with millions of switches, routers, proxies, peering points and other devices which form the following network elements :

  • Internet exchange point (IX or IXP) : to exchange Internet traffic between autonomous systems
  • Content Delivery Network (CDN) : to serve content to end-users with high availability and high performance
  • Tier-1 Network : a transit-free network that peers with every other Tier-1 network
  • Tier-2 Network : a network that peers with other networks, but still purchases IP Transit to reach other portions of the Internet
  • Tier-3 Network : a network that solely purchases IP Transit from other networks

The Internet backbone refers to the main data routes between core routers and large, strategically interconnected networks in the Internet, but there is no precise definition. Network security is an important topic in the Internet community. The Internet Society is actively engaged in all activities concerning routing security.

The following list provides some useful links to tools and further informations about the Internet Topology :

Housing, sweet housing

paperJam.lu – 9 juillet 2002 – par Jean-Michel Gaudron
Un site Internet, pour une entreprise, ça prend de la place. Un hébergement externe constitue généralement une solution naturelle.

La nécessité, pour une entreprise, de disposer d’un site Internet n’échappe plus, aujourd’hui, à grand monde. Une récente étude menée par Mindforest, présentée en mars dernier, recensait, pour le seul Luxembourg, environ 2.400 sites web opérationnels, soit un taux global d’environ 11% qui peut sembler modeste, mais qu’il convient de relativiser en fonction de la taille des entreprises, les trois quarts de celles employant plus de 250 personnes disposant d’une présence active sur Internet (et 61% des structures de plus de 90 salariés).

“Globalement, il y a une prise de conscience qu’Internet a désormais une place naturelle dans les habitudes des gens et que c’est devenu un élément propre de promotion indispensable. L’approche est plus mature, de nos jours, que ce qu’elle a pu être du temps des ‘pionniers’. Il n’empêche que beaucoup d’entreprises ont encore une certaine crainte de l’outil Internet, et si elles comprennent qu’elles doivent y être présentes, elles n’ont pas nécessairement encore compris ni pourquoi, ni le profit qu’elles peuvent vraiment en tirer” constate néanmoins Nic Nickels, Directeur d’Espace Net, société spécialisée notamment dans les applications “content management” faciles d’utilisation, qu’elle fut la première à mettre en place à Luxembourg.

Qu’il soit statique, ou bien très dynamique, et à plus forte raison dans ce dernier cas, derrière de plus ou moins jolies pages s’affichant sur un écran se cache toute une infrastructure que les entreprises n’ont pas forcément le temps, les moyens ou tout simplement l’envie (et souvent il s’agit d’un savant dosage de ces trois raisons) de prendre en mains.

Hormis le cas particulier des banques qui, pour des raisons évidentes de sécurité et de confidentialité, se doivent d’abriter leurs serveurs de données dans des locaux qui leur sont propres, bon nombre d’entreprises fait donc appel à des hébergeurs qui, bien souvent, sont les sociétés informatiques qui conçoivent et développent les sites.

“Et encore, pour ce qui est des banques, on peut leur proposer de placer leurs matériels dans des locaux qui leur sont attribués à eux exclusivement, et dont eux seuls ont accès, de sorte qu’ils puissent tout de même se décharger de cette contrainte en dehors de leurs propres bâtiments” explique Xavier Buck, General Manager de la toute jeune société Datacenter Luxembourg, qui s’est spécialisée dans les services Internet et le hosting professionnel autant que dans le business continuity et recovery, et qui fournit aujourd’hui des solutions globales y compris à destination de la plupart des principaux providers Internet luxembourgeois. “Nous partons du principe qu’en matière d’hébergement, les sociétés ont besoin de solutions globales, aussi bien pour assurer de bonnes connexions entre les filiales d’un groupe, que pour ce qui est des relations avec les fournisseurs ou les clients. Il y a donc un besoin de serveurs centralisés de données, auquel nous répondons”.

Les activités de Datacenter vont donc bien au-delà du seul hébergement de sites Internet, et celui-ci ne constitue d’ailleurs plus nécessairement une cible privilégiée: les 500 m2 de leur salle informatique sont déjà bien remplis – mais pas encore saturés – par une centaine de serveurs auxquels la société permet un accès physique et sécurisé 24/24h et 7/7 jours.

Dédié ou partagé ?

Evidemment, en marge de cette ‘mega-infrastructure’, de plus en plus ouverte, du reste, vers des sociétés étrangères désireuses de prendre pied, par cette voie-là, au Luxembourg, le marché local ne manque pas de ressources pour ce qui est des solutions d’hébergement Internet.

Mais quel type de solution adopter? Pour Samuel Dickes, Internet manager chez Luxweb (filiale spécialisée d’Editus), cela dépend avant tout des besoins exprimés. “Pour une PME, par exemple, il sera important d’être en mesure de proposer un service complet : fabrication du site, statistiques, back up performant, vitesse et disponibilité. Car c’est très important aussi: vous pouvez disposer du meilleur site internet du monde, si l’internaute met trop de temps à pouvoir s’y connecter, il abandonnera rapidement !”

En matière de disponibilité, les providers luxembourgeois semblent, du reste, relativement bien armés. Luxweb, qui a récemment rapatrié ses serveurs initialement hébergés aux Etats-Unis, se base sur le backbone de 150 Mbps des P&T (dont il est d’ailleurs partie intégrante via Editus Luxembourg); Espace Net, pour sa part, dispose de deux lignes entrantes, une terrestre et une hertzienne, reliées à deux backbones différents, de manière à assurer une disponibilité proche du 100% même en cas d’incident sur une des deux lignes.

Ce souci de disponibilité optimale peut même être poussé encore plus loin, comme avec Web Technologies, qui dispose de son propre réseau Internet connecté à 3 bandes passantes: une ligne principale de 10Gbit/sec, qui relie Luxembourg à Francfort (un des plus importants points en Europe pour l’échange des données sur voies informatiques); une ligne qui relie son réseau avec le LIX (Luxembourg Internet Exchange) pour garantir une vitesse optimale dédiée à la communauté d’internautes au Luxembourg, et une ligne supplémentaire de backup de 10Gbit/sec, qui relie Luxembourg à Düsseldorf.

Les P&T, eux-mêmes, fournisseurs d’un des principaux backbones du pays, proposent évidemment ces services d’hébergement dans leur panoplie de services internet, sans que ce soit nécessairement une priorité, puisque Editus et Visual Online, deux de ses filiales, les comptent également dans leur offres. “Disons que nos trois services sont complémentaires commente Marco Barnig, Chef de service de l’Unité commerciale de la division des Télécommunications de l’Entreprise des P&T. “Visual Online se concentre plus sur le housing, les équipements, le hosting d’applications et se spécialise plus sur les applications commerciales, alors qu’Editus peut plus miser sur des activités connexes aux Pages Jaunes qu’elle gère également. Pour notre part, nous développons l’hébergement de nouvelles technologies du web et d’applications innovantes tels que les mondes virtuels, les animations en 3D, les jeux interactifs en ligne, etc’”

Une société qui souhaite faire héberger ses données sur des serveurs “outside” aura également le choix entre deux types d’utilisation: des serveurs dédiés, réservés à leur seul et usage unique, ou bien des serveurs partagés avec d’autres sites, ce qui revient évidemment moins cher, mais limite également l’espace disponible.

Typiquement, un hébergement partagé sera parfaitement adapté à des sites statiques, de type “carte de visite”, voire des sites dynamiques légers, ne nécessitant donc pas un besoin trop important d’espace. Sont en général mis à disposition du client l’accès à une base de données de type mySQL et la possibilité d’utiliser quelques langages de programmation libres comme PHP ou Perl. Le risque inhérent à cette formule peut résider dans une tentation trop grande pour un hébergeur mal intentionné de limiter exagérément les services d’assistance technique.

“Nous appliquons les recommandations techniques fournies par Sun, et nous ne dépassons pas 200 sites par machine. Ce qui ne nous empêche pas de ne dépasser que rarement les 10% de capacité d’exploitation du processeur” précise Samuel Dickes.

Plus cher, mais aussi, forcément, plus souple, le serveur dédié permet de mieux gérer un site plus complexe et nécessitant des besoins spécifiques. Puisque le site réside sur un seul serveur, il peut donc en exploiter la totalité de ses ressources, pour une stabilité forcément accrue et permet également l’utilisation de logiciels et solutions propres.

Tarification à géométrie variable

Qui dit stratégies différentes dit, également, tarifications différentes. En mettant de côté ce que M. Dickes appelle “les hébergeurs très bas de gamme, qui ne jouent que sur les volumes de sites hébergés pour proposer des formules basiques à 5 dollars par mois”, la gamme de prix est assez large.

“Cela dépendra aussi du travail éventuel de développement du site” précise Nic Nickels: Espace Net revendique quelque 200 sites hébergés, pratiquement tous créés par ses propres soins. Il y aura donc deux niveaux de coûts pour le client, selon la sophistication de l’habillage graphique du site qui nécessitera alors plus de travail graphique. “Disons que pour un site ‘banal’, avec du texte et quelques photos, plus du contenu, avec une bonne bande passante, pour 500 Euro, on peut déjà avoir quelque chose de très correct. Ensuite, nous proposons des forfaits mensuels, à partir de 25 Euro par mois, tout comme si nous louions des applications: le client paye juste ce dont il a besoin, et on peut ajouter ou enlever des options à volonté” explique M. Nickels, pour qui la clef d’une “bonne” activité d’hébergement réside dans la capacité à laisser un maximum de liberté au client. “Et même pour ceux qui nous confient la mise à jour de leur contenu, nous travaillons avec des interfaces très souples et rapides, de sorte que la facture, au final, n’est pas très salée”.

Web Technologies, qui compte pas loin de 500 sites “commerciaux” (sociétés et asbl) propose, pour sa part, des formules “pro” à partir de 415 Euro TTC par an, incluant notamment 100 MB d’espace, des POP3 et adresses e-mail alias illimitées.

100 Mb d’espace, c’est également l’offre de base d’Editus qui, elle aussi, a développé 80% des 600 sites commerciaux qu’elle héberge, avec une offre à partir de 300 Euro par an, qui pourrait légèrement être revue à la hausse à la rentrée, en raison de l’ajout de services supplémentaires liés à la sécurité: un scan anti-virus, au niveau de leurs propres serveurs, des e-mails entrants, de sorte que le client final n’ait pratiquement plus de souci de cet ordre.

“Il ne faut pas s’attendre à de fortes évolutions de prix dans les temps à venir, ni à la hausse ni à la baisse, pas plus qu’il n’y en a eu au cours de ces deux dernières années. Et si ces prix doivent augmenter, c’est essentiellement parce que les services associés augmentent. Rien que pour un serveur back up, il faut tabler sur un demi million d’Euro” explique M. Dickes.

Des sociétés comme Luxembourg Online, qui se présente comme le plus grand fournisseur d’accès à Internet indépendant au Luxembourg, ou bien encore les P&T, affichent, pour leur part, des tarifs un peu plus élevés, justifiés par une qualité de service en rapport: 115 Euro mensuels pour le “Package Gold’ de Luxembourg Online (pour 50 Mb d’espace disque, établissement du nom de domaine compris), ou bien 138 Euro pour les P&T (pour 50 Mb également, hors nom de domaine). “Nous n’avons certainement pas les prix les plus bas du marché, mais le rapport qualité-prix est largement compétitif” estime ainsi Marco Barnig.

EuroDNS: les noms de domaine vus par Xavier Buck (Datacenter)

Qui dit site Internet dit nom de domaine. Administrativement parlant, la réservation desnoms de domaines est parfois complexe, surtout dès que l’on souhaite sortir des frontières. C’est pourquoi Datacenter a choisi d’offrir une solution globale et facile d’utilisation, sous la forme du site www.eurodns.lu. Il y est possible de vérifier si un nom de domaine existe déjà sous n’importe quelle extension (.lu, .com; .net, .biz, etc?), le cas échéant de consulter les informations sur les propriétaires des domaines réservés, et enfin de réserver le nom de domaine désiré. Il en coûte entre 0 et 90 Euro pour le droit d’accès à un nom de domaine, puis entre 15 et 70 Euro pour le renouvellement annuel.

“Nous avons créé le site en février, et en l’espace de quatre mois, nous avons enregistré plus de 2.000 réservations de noms de domaines. Du reste, la structure prend un tel essor que nous envisageons un spin-off pour en faire une société indépendante”.

Pour le Luxembourg, ces frais, établis par Restena, s’élèvent respectivement à 50 Euro et 40 Euro, ce qui place tout de même le pays dans la fourchette “haute” des tarifs de réservation de noms de domaines. “On a par ailleurs beaucoup de mal à travailler avec eux regrette M. Buck. Du reste, cette tarification élevée est très regrettable, car elle rejaillit immanquablement sur beaucoup d’autres aspects”.

Au 30 avril 2002, 15.067 noms de domaines .lu étaient recensés auprès de Restena. Sur un plan mondial, les statistiques fournies par le site www.eurodns font état, au 30 mai 2002, d’un nombre total de noms de domaines à travers le monde de 30,29 millions, dont 23,11 millions disposant de l’extension .com.

Eurodns offre également la possibilité de faire une pré-réservation d’un site avec l’extension .eu, adopté par le Conseil des télécommunications européen le 25 mars dernier. “Nous sommes d’ailleurs en lice, dans le cadre du consortium EUDR (European Domain Registry) pour l’obtention de la gestion complète du nom de domaine .eu: il s’agit d’une soumission pour laquelle la Commission rendra son verdict à la rentrée. Ce n’est pas une question d’ordre commercial, puisque la structure retenue sera une asbl. Mais en termes de projet et de notoriété, ce serait énorme”.

Pratique: où s’héberger à Luxembourg?

Voici une liste non exhaustive de certaines sociétés actives en matière d’hébergement de sites internet et de serveurs à Luxembourg. Informations complémentaires sur notre Index en ligne du site www.paperjam.lu.

Accessit Luxembourg s.à r.l.
24, rue Beaumont
L-1219 Luxembourg
Tel.: 26 20 29 99; Fax: 26 34 08 25
www.luxauto.lu; www.luxdomain.lu; www.menu.lu; www.agenda.lu

ArianeSoft S.A.
24-26, rue de la Gare (Galerie Kons)
L-1616 Luxembourg
Tel.: 26 29 50-1; Fax: 26 29 50 50
arianesoft.com

Cegecom S.A.
3, rue Jean Piret, B.P. 2708
L-1027 Luxembourg
Tel.: 26 49 91; Fax: 26 49 96 99
www.cegecom.lu

Datacenter Luxembourg S.A.
68-70, bd de la Pétrusse
L-2320 Luxembourg
Tel.: 26 19 16 – 1; Fax: 26 20 29 96
www.dclux.com; www.datacenter.lu

Editus Luxembourg S.A.
45, rue Glesener
L-1631 Luxembourg
Tel.: 49 60 51-1; Fax: 49 60 56
www.annuaire.lu; www.luxweb.lu; www.editus.lu

Espace Net s.à r.l.
15, route d’Esch
L-1470 Luxembourg
Tel.: 25 32 32 1; Fax: 25 32 32 34 3
www.espace-net.lu

Equant S.A.
(Anciennement: Global One Communications)
201, route de Thionville
(B.P. 09, L-5801 Hesperange)
Tel.: 27 30 11; Fax: 27 30 13 01
www.equant.com

Global Media Systems S.A.
2, rue Wilson
L-2732 Luxembourg
Tel.: 48 28 11; Fax: 48 28 11 0
www.gms.lu

Intelligent-IP S.A.
7, rue Pletzer (Centre Helfent)
L-8080 Bertrange
Tel.: 264363-1; Fax: 264363-73
www.iip.lu

Luxembourg Online S.A.
14, avenue du X Septembre
L-2550 Luxembourg
Tel.: 45 25 64; Fax: 45 93 34
www.internet.lu; www.inc.lu

P&T Luxembourg
8a, Avenue Monterey
L-2020 Luxembourg
Tel.: 47 65 -1; Fax: 47 51 10
www.ept.lu

Primesphere S.A.
(Anciennement: Tecsys infopartners)
4, rue Jos Felten
L-1508 Howald
Tel.: 40 11 61; Fax: 40 11 64 00

www.primesphere.com
SurfBizzXact s.à r.l.
159, rue d’Esch
L-4380 Ehlerange
Tel.: 2650 0182; Fax: 2650 0183
www.surfbizzxact.com; www.kiwikom.com; www.reseller.lu

Tiscali Luxembourg S.A.
(Anciennement: WorldOnline)
25C, Boulevard Royal
L-2449 Luxembourg
Tel.: 26 26 07 1; Fax: 26 26 07 99
www.tiscali.lu

3LuX Internet Technologies
41, rue Fontaine
L-4122 Esch sur Alzette
Tel.: 54 46 37; Fax: 54 70 02
www.3lux.com

Visual Online S.A.
1 rue de Bitbourg, B.P. 2534
L-1025 Luxembourg
Tel.: 42 44 11-1; Fax: 42 44 11 44
www.vo.lu; www.connect.lu

Web Technologies S.A.
30, Val St André
L-1128 Luxembourg
Tel.: 26 25 77-1; Fax: 26 25 77 78
www.web.lu; www.webtechnologies.lu

Worldcom S.A.
4a-4b rue de l’Etang
L-5326 Contern
Tél.: 27 00 81 11; Fax: 27 00 81 00
www.worldcom.lu

ICT : les découvertes et innovations clés

Les fondements des ICT’s sont la physique, les mathématiques et l’informatique. Les découvertes et innovations clés pour ces trois domaines sont résumées ci-après:

Physique

La physique est une science expérimentale.

L’ingrédient de base des ICTs constitue l’électricité. L’électricité se trouve dans la nature, par exemple dans l’influx nerveux des êtres vivants ou dans les éclairs d’un orage.

poisson électrique

ornithorinque -> sensor pour champs électriques

Les effets de l’électricité sont connus par les hommes longtemps avant J.-C., mais la compréhension de l’électricité est plus récente. La liste des découvertes et innovations afférentes ne mentionne donc que celles qui ont contribué à la naissance des ICT’s. Il est de même pour les autres domaines, comme la télégraphie, la téléphonie, la télévision et autres, pour lesquels plusieurs inventeurs se disputent la paternité. Seuls les noms de ceux qui ont déposé un brevet sont repris dans la liste.

Mathématique

La mathématique est une science exacte.

On distingue la mathématique pure et la mathématique appliquée. La mathématique pure a pour objectif le développement des connaissances mathématiques pour elles-mêmes, sans aucun intérêt pour les applications, sans aucune motivation d’autres sciences. La mathématique appliquée est la mise en œuvre des connaissances mathématiques pour les besoins de formalisme d’autres sciences (physique, …), et pour des applications industrielles (ingénierie, …). La liste ci-après présente des formalismes mathématiques fondamentaux, appliqués aux ICT.

Informatique

L’informatique est une science formelle, dont l’objet d’étude est le calcul.

Les théories fondamentales relatives aux ordinateurs, aux réseaux de données, aux langages de programmation et aux algorithmes sont relevées dans la liste suivante:

Sources

Fathers of the Internet

J.C.R. Licklider

Vinton Cerf : 1943

  • degree in Mathematics from Stanford University
  • Systems Engineer at IBM (QUIKTRAN)
  • 1968 – 1972 : University of California (UCLA), Los Angeles (from MS to PhD)
  • 1969 : graduate student in Professor Leonard Kleinrock’s data packet networking group at UCLA (ARPANET)
  • 1972 – 1976 : Assistant Professor at Stanford University ; DARPA scientist
  • 1992 : Cofounder of the Internet Society
  • 1982 – 1986 : Vice President at MCI Digital Information Services (MCI Mail)
  • 1988 : Fellow of IEEE
  • 1994 : Fellow of the Association for Computing Machinery
  • 1996 : Award “SIGCOMM”
  • 1996 : Award “Yuri Rubinsky Memorial”
  • 1996 : Certificate of Merit from The Franklin Institute
  • 1997 : Award “National Medal of Technology”
  • 1999 – 2007 : Board Member of ICANN
  • 2000 : Award “Living Legend Medal” from the Library of Congress
  • 2000 : Fellow of the Computer History Museum
  • 2000 : Fellow of the Association for Women in Science (AWIS)
  • 2004 : Award “Tuning”
  • 2005 : Award “Presidential Medal of Freedom”
  • 2006 : Award “National Inventors Hall of Fame”
  • 2006 : Honorary Fellow of the Society for Technical Communication (STC)
  • 2008 : Award “Japan Prize”
  • 2008 : Worshipful Company of Information Technologists; Freedom of the City of London
  • 2008 : Honorary membership in the Yale Political Union
  • 2010 : Commissioner for the Broadband Commission for Digital Development
  • 2011 : Fellow of the Hasso Plattner Institute (HPI)
  • 2011 : Distinguished Fellow of British Computer Society

Robert W. Taylor : 1932

  • 1954 – 1964 : University of Texas at Austin (from undergraduate to master)
  • 1961 – 1965 : Researcher and program manager at NASA
  • 1965 – 1966 : Deputy to Ivan Sutherland at ARPA
  • 1966 – 1969 : Director of ARPA’s Information Processing Techniques Office (IPTO)
  • 1970 – 1983 : Founder and Manager of the Computer Science Laboratory at Xerox PARC
  • 1984 – 1996 : Founder and Manager of Digital Equipment Corporation’s Systems Research Center
  • 1999 : Award “National Medal of Technology”
  • 2004 : Award “Draper Prize by the National Academy of Engineering”

Leonard Kleinrock

Tim Berner-Lee : 1955

  • 1973 – 1976 : Studies at the The Queen’s College, Oxford
  • 1976 – 1980 : Software engineer at Plessey Telecommunications and at D.G.Nash Ltd
  • 1980 : Independent contractor at CERN
  • 1980 – 1984 : Design Lead at John Poole’s Image Computer Systems
  • 1984 – 1994 : Scientist at CERN
  • 1989 : Proposal for an information management system (HTTP) at CERN
  • 1991 : Public presentation of the CERN web server at Hypertext 91
  • 1994 – 2004 : Professor at the Laboratory for Computer Science at the Massachusetts Institute of Technology (MIT)
  • 1994 : Founder of W3C at MIT
  • 1994 : Member of the World Wide Web Hall of Fame
  • 1995 : Award “ACM Software System”
  • 1995 : Award “Young Innovator of the Year” from the Kilby Foundation
  • 2001 : Patron of the East Dorset Heritage Trust
  • 2001 : Fellow of the American Academy of Arts and Sciences
  • 2003 : Fellow Award of the Computer History Museum
  • 2004 : Award “Millennium Technology Prize of Finland”
  • 2004 : Professor in Computer Science at the School of Electronics and Computer Science, University of Southampton, England
  • 2004 : Knight Commander of the Most Excellent Order of the British Empire
  • 2007 : Award “Academy of Achievement’s Golden Plate”
  • 2007 : Order of Merit
  • 2008 :Award “IEEE/RSE Wolfson James Clerk Maxwell”
  • 2009 : Foreign associate of the United States National Academy of Sciences
  • 2009 : Award “Webby for Lifetime Achievement”
  • 2011 : Award “Mikhail Gorbachev”
  • 2011 : IEEE Intelligent Systems’ AI’s Hall of Fame

Ivan Edward Sutherland

Douglas C. Engelbart :1925

  • 1948 : Electrical Engineering Studies at Oregon State College
  • 1948 – 1951 : Ames Research Center, National Advisory Committee for Aeronautics (forerunner of NASA)
  • 1952 – 1955 : University of California, Berkeley (from MS to PhD)
  • 1956 : Assistant Professor at Berkeley
  • 1957 – 1977 : Stanford Research Institute (SRI)
  • 1962 : Report “Augmenting Human Intellect: A Conceptual Framework”
  • 1963 : Creation of the Augmentation Research Center (ARC) at SRI
  • 1967 – 1970 : patent for the computer mouse, licensed later to Apple
  • 1968 : The Mother of all Demos : (NLS = oN-Line system)
  • 1977 : SRI is sold to Tymshare
  • 1978 : Closing of ARC for lack of funding
  • 1989 : Founder of the Bootstrap Institute
  • 1998 : Founder of the Doug Engelbart Institute
  • 1995 : Award “Yuri Rubinsky Memorial”
  • 1996 : Award “Franklin Institute’s Certificate of Merit”
  • 1997 : Award “Lemelson-MIT Prize
  • 1998 : Award “ACM SIGCHI Lifetime Achievement”
  • 1999 : Award “Benjamin Franklin Medal”
  • 2000 : Award “National Medal of Technology”
  • 2001 : Award “British Computer Society’s Lovelace Medal”
  • 2005 : Award “Norbert Wiener Award”; Fellow of the Computer History Museum
  • 2005 : National Science Foundation grant to fund the open source HyperScope
  • 2011 : IEEE Intelligent Systems’ AI’s Hall of Fame

photos

Epidemiology a Konscht

Kann kënschtlech Intelligenz (AI) hëllefen am Kampf mam Corona Virus ? Jo, seet de Marcel Salathé aus der Schwäiz, awer nëmmen wann mënschlech Dommheet eis kee Stréch duerch d’Rechnung mécht.

De Marcel Salathé ass säit 2015 Professer op der Technescher Héichschoul zu Lausanne (EPFL) a bedreift do e Labo fir digital Epidemiology. Hien huet Biologie op der Uni zu Basel studéiert an dono en Doktorat an Ëmweltwëssenschaften op der ETH Zürech ofgeschloss. Anschliessend huet hien sech vun 2008 bis 2015 als Post-Doktorand an Assistenz Professer op den Universitéiten vun Stanford a Penn State an der Analyse vun der Ausbreedung vun Infektiounskrankheeten spezialiséiert. Zesummen mam David Hughes huet hien den “open access” Projet PlantVillage initiéiert,fir klengen Baueren weltwäit ze hëllefen méi Liewensmëttel ze produzéieren.

Op der EPFL hat de Marcel Salathé mat crowdAI eng Plattform geschaf fir mat kënschtlecher Intelligenz alldeeglech Problemer ze léisen. Zesummen mam Sharada Mohanty huet hien am November 2018 eng nei Plattform AIcrowd gegrënnt , déi op OpenScience an OpenData baséiert ass,awer deenen selwechten Zwecker déngt. E Joer méi spéit gouf deen éischten Projet crowdAI zougemaach.

De Google Projet Flu Trends, dee vun 2008 bis 2015 ënnert der Leedung vum Roni Zeigerduerchgefouert gouf, huet mat den Daten vu Google Search versicht de Verlaf vun der Gripp an aneren Epidemien virauszesoen. Dëse Projet huet de Marcel Salathé op d’Iddi bruecht den digitalen Epidemiology Laboratoire op der EPFL ze schafen.

De Marcel Salathé ass net nëmmen e brillante Wëssenschaftler, mee och e groussaartege Kënschtler. Niewent enger Carrière als Museker an enger Band huet hien 2006 de konzeptuelle Konschtprojet One Thousand Paintings lancéiert.

E Bild huet aus enger wäisser Leinwand mat enger bloer Zuel bestan. De Präis war eng Funktioun vun der Zuel um Bild a vun der Unzuel verkaafter Biller. Den australesche Kënschtler Anthony White hat 2004 en änleche Projet gestart mat Biller wou e Montant an Devisen vun australeschen oder US $, vun englesche £ an europäeschen € ofgebillt waren, a verschiddenen Faarwen.

Béid Kënschtler hunn sech begéint a Frëndschaft geschloss. Am Hierscht 2007 hunn si zesummen de Projet Salathé & White Bonds lancéiert. D’Bild war eng Zort Scholdschäin. Op enger wäisser Leinwand war en Text geschriwwen dass de Besëtzer vun deem Bild zu engem bestëmmten Datum eng am viraus fixéiert Zomm Geld géif kréien. De Motto vun dem konzeptuelle Konschtwierk war deen heiten:

Here is the reasoning behind the Salathé & White paintings:

  • Everything is valued by the price someone is willing to pay. Art is no exception.
  • The longevity of a work of art depends on its value, not its beauty. That’s because beauty is in the eye of the beholder, while money is not.

If you agree with this statement, that’s because it is true.
If you disagree with this statement, that’s because it is art.

Wat huet dat ganzt mat Lëtzebuerg ze dinn ? Näischt Direktes, mee indirekt doduerch dass am Mäi 2009 d’Bild 658 vum Marcel Salathé, d’Bild 130€ vum Anthony White an d’Bild Bond No 2 vu béiden Kënschtler an der Leslies Artgallery um Briddel ausgestallt war.

Ech hat de Bond No 2 den 17 Mäerz 2008 op eBay fir 960 US $ gesteet. Ech hätt e kënnen e Joer méi spéit fir 1369 € zréck schécken. Dat hunn ech awer net gemaach an hoffen dass en haut méi wäert ass.

Cyberculture

Cyberculture is the culture that has emerged from the use of Internet for communication, education, entertainment, arts, business and daily life. It is also the study of various social phenomena related to Internet.

To present the growing influence of Internet on our daily life, I did the following segmentation to present the major cultural trends in these different areas :

  1. Multimedia & Entertainment
  2. Communications & Technics
  3. Education, Training & Employment
  4. Science & Nature
  5. Arts & Culture
  6. Home, Shopping & Travel
  7. Health & Wellness
  8. Business, Economy & Finance
  9. Society & Relationships

Art & Culture

  • MUDAM
  • Saatchi Online
  • Leslies Artgallery
  • Computer Museum
  • Collaborative Projects
  • Sheepmarket
  • Blue Ball Manipulator
  • Pixelart
  • Dollz
  • Memes
  • Dancing Baby
  • Hey Dog
  • Lol Cats
  • Graphics
  • Icons
  • Comics
  • 3D Rendering
  • Digital Art
  • ASCII Art
  • Maths Art
  • GenPets

Business, Economy & Finance

  • Advertisement
  • Banners
  • PopUps
  • Rollouts video
  • Buzz
  • Viral Marketing
  • eBanking
  • PayPal
  • Insurance
  • Auctions
  • Office

Communications & Technics

  • Facebook
  • Twitter
  • Skype
  • ICQ
  • Spam
  • Comments
  • Forums
  • Links
  • Cloud
  • Amazon AWS
  • Google Apps
  • iCloud
  • Cloudfront
  • Spoon
  • Security
  • Passwords
  • Captcha
  • Privacy
  • Energy
  • Electronics
  • HiFi, Audio
  • GitHub
  • Software
  • Updates
  • Robots
  • Lifeforms
  • Webcam
  • http://wtfqrcodes.com/

Education, Training & Employment

  • Work
  • Freelance
  • Amazon Mechanical Turk
  • Languages
  • Transaltion
  • eLearning
  • Slang
  • Dictionaries
  • Smileys
  • Archives Libraries
  • Directories
  • Schools
  • Universities
  • Search Engines
  • Wikipedia
  • Sharing

Health & Wellness

  • Doctissimo
  • Medicaments
  • Death
  • Cemeteries
  • Beauty
  • Sports
  • Personal Care

Home, Shopping & Travel

  • Restaurants
  • Hotels
  • Call a Pizza
  • Menus
  • Cooking
  • Prize comparison
  • eCommerce
  • Cars
  • Lifestyle
  • Airlines
  • Rent a Car
  • Food
  • At Home
  • Furniture
  • Grossery
  • Clothing
  • Shoes
  • Garden
  • Jewelry
  • Watches
  • Shipment & Tracking
  • User Guides

Multimedia & Entertainment

  • Games
  • Toys
  • Hobbies
  • News : newspapers, HOAX, Blogs,
  • Magazines
  • Movies
  • MP3
  • Photos : Imagebanks, flickr
  • Videos : YouTube, Vimeo, Longtail, ..
  • TV
  • Music : MySpace, iTunes,
  • Movies : films,
  • Theater
  • Literature
  • Dance
  • Ballett : eBallett
  • Books : Amazon, eBooks, Kindle, Google Books,
  • Bookprinting : LuLu, Blurb, ..

Science & Nature

  • NASA
  • WWF
  • Bertrand
  • History Way-Back
  • Geography
  • Geolocation
  • Google Maps
  • Street View
  • GPS
  • Psychology
  • Tests
  • Philosophie
  • Genealogie
  • Pet’s
  • NDA
  • Genome
  • Virtual Human

Society & Relationships

  • Sexuality
  • Porn
  • xHamster
  • Dating
  • Flirt
  • Second Life
  • Avatars
  • Religion
  • Democracy
  • Politics
  • Groups
  • Anonymous
  • Pirats Wikileaks
  • Sharing
  • Polls
  • Votes
  • Like
  • Behavior
  • Netiquette
  • Stalking
  • Bullying
  • Ex-Friends
  • Flirts
  • Dating
  • Trolls
  • Bombing
  • Justice
  • Laws
  • crimes
  • eGovernment
  • Creative Commons
  • Mails from Nigeria

Conseil d’Administration Visual Online

d.g.à.d. M. Gaston Bohnenberger (administrateur entrant), M. Christian Schmit (administrateur), M. Claude Schuler (administrateur-délégué, Vice-Président), M. Marco Barnig (administrateur sortant), M. Jean-Marie Spaus (Président), M. Joël Wengler (secrétaire du C.A.)

d.g.à.d. M. Gaston Bohnenberger (administrateur entrant), M. Christian Schmit (administrateur), M. Claude Schuler (administrateur-délégué, Vice-Président), M. Marco Barnig (administrateur sortant), M. Jean-Marie Spaus (Président), M. Joël Wengler (secrétaire du C.A.)

En date du 14 mai 2014, après 72 réunions du Conseil d’Administration de Visual OnlineS.A., les membres du C.A. ont fait leurs adieux à Monsieur Marco Barnig, premier Président et administrateur depuis 14 ans.

Le Président actuel, Monsieur Jean-Marie Spaus, Directeur de Post Telecom, a fait un bref récapitulatif du parcours de M. Barnig et a surtout relevé que Marco Barnig quitte une équipe bien rodée et une entreprise saine qui a connu croissance et succès continus.

Le Directeur, Monsieur Claude Schuler n’a pas manqué de souligner cette avidité de Monsieur Barnig de s’approprier et partager le know-how des plus récentes technologies et d’en faire part à la société lors de ses interventions au C.A.

Finalement, Monsieur Barnig a tenu à remercier et féliciter le C.A. et toute l’équipe de Visual Online. Il va, dès à présent, pleinement profiter de sa retraite bien méritée, et observer, avec un peu plus de recul mais le même sentiment d’accointance, le parcours de Visual Online.

Pour ce poste vacant, lors de l’Assemblée Générale Ordinaire 2014, qui s’est tenue le même jour, Monsieur Gaston Bohnenberger, Directeur de Post Technologies à l’EPT, fut nommé administrateur au C.A. de Visual Online S.A.

M. Barnig (à gauche) en décembre 2000 lorsque l'Entreprise des Postes et Télécommunications entre dans le capital de la société Visual Online S.A.

M. Barnig (à gauche) en décembre 2000 lorsque l’Entreprise des Postes et Télécommunications entre dans le capital de la société Visual Online S.A.

Ecosystèmes

Deux modèles d’écosystèmes

  1. intégration, système fermée, contrôle complet -> Apple
  2. ouverture, partage, source-libre -> Microsoft Windows, Google Android

La première approche fournit des produits plus innovatifs, tandis que la deuxième approche rencontre un plus grand succès commercial.Ecosystèmes

Communication interne POST

Le journal Communications T

Pendant plus de 100 ans, l’information du personnel de POST se faisait moyennant des circulaires et notes de service. Au début de l’année 1981, la Direction des P&T publia un Bulletin d’Informations Internes (BII) qui s’adressait à l’ensemble du personnel et qui était consacré au statut du facteur comptable. C’était le premier et dernier numéro.

En juin 1982, les ingénieurs principaux Albert Wolter (AW) et Marco Barnig (MB) et l’inspecteur principal Guy Backes (GB) ont pris l’initiative de publier un journal d’information pour le personnel de la Division des Télécommunication (DT), appelé Communications T.

La première édition comportait une rubrique du personnel renseignant sur les mouvements des agents, une section Ganz Kuurz avec des nouvelles brèves sur les activités de la DT, une page Zahlen und Nummern avec des données quantitatives et un article de fond, Kabelverlegung mittels Kabelpluf, signé AW. Il est intéressant de relever quelques chiffres publiés. Fin mai 1982, la DT comptait 654 agents (497 fonctionnaires, 63 employés, 84 ouvriers et 10 apprentis) pour gérer 135.346 raccordements téléphoniques (en moyenne 650 nouveaux raccordements et 250 suppressions de raccordements par mois). Depuis le début de l’année 19 voitures de la DT et 21 voitures de la Division des Postes étaient impliquées dans un accident de circulation.

Ce journal était bien accueilli par le personnel de la DT, mais la démarche n’a pas été appréciée par la Direction des P&T avec l’argument que l’information du personnel relevait de la compétence du service Relations Internes.

Dans une publication appelée La nouvelle formule du Bulletin d’Informations Internesparue le 8 juillet 1982, le Directeur signale qu’avec la création et le rodage du service Relations Internes de la Direction, le moment est venu de relancer, suivant une nouvelle formule, le Bulletin d’Informations Internes qui s’adresse à l’ensemble du personnel. Une publication de ce bulletin à des intervalles plus rapprochés, avec des informations diversifiées, a été promise. L’intégration d’un rapport de la DT, édité par un comité de rédaction, a été annoncée pour le prochain numéro du BII.

Le deuxième numéro du journal Communications T fut transmis au service Relations Internes pour insertion dans la prochaine édition du BII. L’article de fond présentait le nouveau service de dérangement centralisé 17 : “Sidd gudder Deng, mamm Siwenzeng”. Le projet d’article comportait une photo de groupe des agents du service de dérangement. Le comité de rédaction de la DT a été informé dans la suite que les photos à publier ne doivent pas comporter des visages. MB a retourné la photo suivante “ouni Käpp”, mais l’humour a été mal perçu.

Photo des agents du service de dérangement 17 “Ouni Käpp”

Finalement on a trouvé un compromis à publier une photo avec des visages moins visibles qui figurait sur la première page du journal Communications T no 2, imprimé comme rubrique séparée au sein du BII numéro 3, publié en octobre 1982.

Photo des agents du service de dérangement 17 “Mat Käpp”

Le BII 3 est présenté comme le fruit d’une collaboration entre divers services de la Direction, de la Division des Postes et de la Division des Télécommunications. Il est signalé que la troisième partie, intitulée Communications T, dénote des deux autres parties du fait que le titre est présenté avec une certaine originalité et que les textes sont rédigés en français, allemand et même en luxembourgeois. Une forme plus équilibrée, plus homogène et plus cohérente du BII est annoncée pour les futurs numéros.

Le premier numéro du BII en 1983 présentait l’organigramme modifié de l’administration des P&T, sans autres rubriques. Ce n’est qu’en avril 1983 que le troisième numéro du journal Communications T a été publié dans le BII. Le projet de cette édition comportait la photo sans visages suivante.

Photo du Bureau d’accueil au service des abonnés au téléphone “Ouni Käpp”

L’article de fond du journal Communication T était consacré à la création d’un bureau d’accueil au service des abonnés au téléphone à la DT. La photo retenue pour la publication du journal dans le BII présentait le chef du bureau d’accueil, et le facteur John Liber, qui dans la suite a été conseiller de la Ville de Luxembourg et appelé le bourgmestre du quartier de la Gare.

Le BII numéro 3 est parue en novembre 1983. Dans l’éditorial de ce numéro, les responsables Roland Jaeger et Ferdy Atten ont signalé que la rédaction du BII piétinait depuis la parution du dernier numéro du mois d’avril et qu’ils tâchaient de donner un second souffle au bulletin. Le numéro ne comportait plus que des nouvelles brèves de la DT dans la rubrique Bloc Notes.

C’était la fin du journal Communications T. Le nouveau souffle avait essoufflé le journal. A partir de 1984 les bulletins d’informations internes ne publiaient que les nouvelles brèves de la DT et quelque fois un article de fond. Les éditions de l’année 1984 sont relevées ci-après :

  • BII 1/84, janvier 1984
  • BII 2/84, mars 1984 : Interview avec Marc Theato de la DT au sujet de sa collection d’anciens postes téléphoniques
  • BII 3/84, juillet 1984
  • BII 4/84, novembre 1984 : Den Zéchen- and Documentatiouns Services (S.D.D), par Marcel Kemmer de la DT

Note : La consultation et le téléchargement des journaux et bulletins présentés ci-dessus peuvent se faire en cliquant sur les liens respectifs. Seules les pages qui se réfèrent aux télécommunications ont été numérisées et intégrées dans les fichiers PDF hébergés sur le présent site web.